
C’est alors qu’un soir, peu avant 22h, je constate la présence d’un chat sur le parking derrière la station service, en direction d’Yverdon.
Je me dis immédiatement que sa présence n’est point normale et qu’elle pourrait lui être fatale. Je m’en approche, il vient immédiatement vers moi, se laisse prendre et me gratifie de gros câlins.
Vu l’heure tardive, difficile de vérifier s’il a une puce et je l’emmène avec moi, j’ai ainsi eu une bouillotte toute la nuit.
Le lendemain matin, grâce à la puce, ses maîtres ont pu être contactés et il aura regagné son foyer, sur les hauteurs de Morges. Le coquin en avait fait du chemin, il s’était aventuré dans un véhicule qui avait stationné près de chez lui…
